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« A… COMME ALICE »
CONCEPTION, MISE EN SCÈNE, ET CHORÉGAPHIE
KARINE SAPORTA
TRAVAIL EN COURS

AU DANSOIR
71 route de Lion 14150 Ouistreham
Vendredi 11 août 20h30, vendredi 25 août 20h30, vendredi 1er septembre 20h30, Samedi 12 août 20h30,  samedi 26 août 20h30, samedi 2 septembre 20h30, Dimanche 13 août 16h,  dimanche 27 août 16h, dimanche 3 septembre 16h.

Accéder à la newsletter de l’évènement :  https://mailchi.mp/karinesaporta.com/karine-saporta-a-comme-alice-eglise-saint-sauveur-caen-15845336

Accéder à la billetterie en ligne : https://www.billetweb.fr/jeux-a-comme-alice-saint-sauveur?mc_cid=c7d194add1&mc_eid=063fbfa96f

Création chorégraphique, musicale et numérique de Karine Saporta, librement inspirée de l’œuvre de Lewis Carroll « Alice au Pays des Merveilles ».

À y regarder de près l’œuvre de Karine Saporta est une saisissante traversée du miroir. Saisissante ou « ravissante », car elle ravit la conscience et les sens du spectateur… Les dérobant pour mieux les satisfaire. Les combler de mille et un trésors d’inventivité plastique comme un grand jet multicolore et multiforme.

Surréaliste ou abstrait… Mais toujours onirique. Artiste contemporaine, s’il en est, la chorégraphe invente, dans son mouvement perpétuel, de nouvelles formes comme autant de nouveaux jeux. L’exubérance de son imaginaire prolifique semble proche de celle de l’enfance.

Rien d’étonnant, donc… à ce qu’elle se soit emparée avec bonheur de cette source d’inspiration que lui offrait la Bibliothèque Nationale de France, commanditaire du spectacle dans le cadre de l’exposition « Babar, Harry et Compagnie-Le livre d’enfant d’hier et d’aujourd’hui », un projet dont elle rêvait depuis longtemps : une création tissée de références à l’œuvre de Lewis Carroll : Alice au Pays des Merveilles…
« … Avec quel bonheur j’ai accepté la proposition de la Bibliothèque Nationale de France, commanditaire du spectacle chorégraphique dans le cadre de l’exposition « Babar, Harry Potter et Cie. Livres d’enfants d’hier et d’aujourd’hui ». Il s’agissait d’inventer un spectacle en résonance avec les lectures enfantines : un projet dont je rêvais depuis longtemps.

Je me suis donc laissée librement inspirer par l’univers fabuleux imaginé par Lewis Carroll dans « Alice au Pays des Merveilles ». J’ai longtemps étudié les mécanismes du ravissement et de la stupeur. À y regarder de près, mon œuvre se fonde depuis toujours sur un rêve récurrent : le rêve de « traverser le miroir ». En créant sur le thème d’ « Alice au pays des merveilles », j’ai cherché à créer une œuvre particulièrement « ravissante ». Comme Alice se laisse ravir la conscience et les sens après qu’elle ait mangé le célèbre champignon, il m’a semblé que le spectacle devait aussi ravir. Ravir la conscience et les sens de chaque spectateur… qu’il soit grand ou petit… »

Surréaliste ou abstrait… mais toujours onirique, selon les différentes scènes, le spectacle immerge le spectateur dans l’exubérance questionnante, parfois inquiétante, des imaginaires enfantins. »

PRESSE
« Alice est chacun des personnages qu’elle croise, comme dans les rêves. La construction de l’identité est faite de conflits, et dans ce sens, l’adaptation du chef-d’œuvre de Lewis Carroll que nous livre Karine Saporta est remarquable. »
Télérama.

« Six danseurs en compagnie de trois musiciens (percussions, piano, vents), interprètent les multiples personnages avec force changements de costumes. Ils portent des masques blancs qui les assimilent à des poupées que l’on habille et déshabille. Chacune de ces poupées humaines manipule son double, une poupée de chiffon : un vrai conte magique, mais aussi, plus gravement, l’idée de la schizophrénie »
Bernadette Bonis, Danser.